BIOGRAPHIE
Charlotte Fischer grandit à Bruxelles au cœur de la diversité. Jusqu’à l’adolescence, elle pratique le ballet classique et garde depuis un rapport complice avec la danse, aujourd’hui plus contemporaine.
En 2011, après l’obtention de son CESS, elle se lance dans la navigation à Anvers pour troquer les pluies de la ville contre un avenir aux voiles gonflées de voyage et de poésie.
Après une belle traversée sur les planches d’un trois-mâts, la cadette atterrit sur les planches de théâtre.
À l’ARA, elle poursuit une 7ème ‘Arts du spectacle’ encadrée par Georges Lini.
Charlotte entre ensuite au Conservatoire de Mons (ARTS²) dans la classe de Frédéric Dussenne.
En 2017 elle obtient son diplôme de master, ponctué par un TFE autour des acteurs de changement et du théâtre engagé.
La même année, la comédienne participe à un projet de théâtre-forum au Burkina Faso, chargée du projet et de l’encadrement du groupe.
En 2019 elle coorganise le KNUST, un festival artistique pluridisciplinaire au sein de l’ancien Dépot Désign, sur le canal de Bruxelles.
Charlotte Fischer joue dans différentes pièces de théâtres : No Explanation d’Axel d’Hondt, une pièce en anglais, alliant théâtre et performance ; Naissance de l’aube de Karim Dumoulin ; Sous la lumière du prisme de Nicolas Poels ainsi que dans la pièce Du fil à l’aiguille, dénonçant les dérives de la fast-fashion et de l’industrie textile.
Charlotte assure aujourd’hui la mise-en-scène de cette dernière pièce aux côtés de Caroline Tellier.
Côté cinéma, elle interprète le rôle de Lady Eboshi dans une adaptation (en anglais) du célèbre film de Miyazaki «Princess Mononoké», réalisée par Raytan RK Rawling et Lou Navahra.
Elle tient le rôle principal dans un court-métrage réalisé par Aurélie Rafact, autour du harcèlement de rue. Et on la retrouve également dans « The Virus Hunter », un clip de soutien au secteur de la restauration réalisé par Sophie Maréchal.
Elle participe à plusieurs expériences de doublage, voix-off, et donne des ateliers de théâtre et d’expression corporelle dans des maisons de quartier ainsi que dans les écoles.